Bien que j'admette maintenant ressentir un certain contentement à ouvrir mes tiroirs et mes armoires de cuisine bien propres et bien rangés, je reste avec un malaise. C'est que j'ai toujours l'impression de perdre mon temps lorsque je nettoie. Je sais que j'ai déjà bloggé sur ce sujet mais, tout comme la poussière qui retombe sans cesse, j'y reviens encore une fois. Il faut croire que je n'ai pas encore réussi à aller au fond de la question. Tentons un traitement avec un autre produit ménager.
Il y a bien sûr l'aspect très éphémère du ménage qui me le rend hostile de prime abord. Le temps pour moi est un luxe et l'utiliser pour accomplir quelque chose qui ne dure pas semble représenter une pure aberration. Pourtant, j'aime bien faire le lavage même s'il s'agit d'une tâche sur laquelle il faut accepter de revenir à intervalles très réguliers... surtout si l'on veut éviter les odeurs qui restent et qui sont susceptibles d'incommoder les nez fins (pour ceux et celles qui ne me lisent pas régulièrement, voir la chronique du 2 septembre).
Voilà que j'ai envie d'arrêter tout de suite mon introspection car, finalement, la chose est simple : j'éprouve une haine profonde et viscérale envers vadrouilles et serpillières. Je les échange
J'ai justement travaillé tout
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Notes pédestres : Comme si le jardinage ne représentait pas un exercice suffisant, j'ai également marché ce matin. Voilà, selon mes critères, du temps bien utilisé. Pour les prochains jours, je vais retrouver mes chers trottoirs montréalais!
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