Alors, me revoici au début d'une autre page blanche. J'ai le choix d'écrire l'histoire, du moins en partie. Je ne sais pas pourquoi mais je pense soudainement aux increvables résolutions du Nouvel An que l'on nous encourageait à prendre autrefois. Je ne sais pas si c'est encore la mode mais je sais en tout cas qu'on en entend moins parler. Je crois que c'est parce que l'on s'est rendu compte que ces bonnes intentions duraient ce que durent les roses, l'espace d'un... vous savez quoi, ne s'appelleront jamais immortelles, ne seront jamais qu'un feu de joie (merci
M'enfin, comme dirait Gaston L., à quoi bon, effectivement, décider de changer quelque chose à notre
Tant qu'à me confesser, j'ose vous révéler que, lors d'une de mes récentes escapades sur les trottoirs, j'ai pensé que je m'essaierais cette année à l'écriture de paroles de chansons... metal. C'est la faute au Pusher et à tout le stock qu'il me fait ingurgiter et à son propre projet de réalisation d'un CD avec Mortör. Je suis véritablement fascinée par les émotions que le metal réussit à passer et très, très souvent renversée par la profondeur des idées exprimées. Loin de moi de m'imaginer que je peux accoter ces artistes que je vénère (oui, oui, vous avez bien lu, je capote juste à l'idée que je pourrais un jour serrer la pince à l'une de mes idoles - outre le Pusher, bien entendu, pour qui c'est déjà fait) mais je me dis qu'au mieux je ferai des textes potables et qu'au pire ce sera de la mauvaise poésie. Me reste maintenant à vaincre l'angoisse de la page blanche sur un possible nouveau blog underground... À suivre.
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