Des fois je cède à ma voix grassouillette intérieure et je vais me chercher un biscuit au chocolat au petit dépanneur situé au
Aujourd'hui, j'ai terminé les deux dossiers qui étaient sur mon bureau à 10 h... parce que j'ai vraiment pris mon temps. Après, bien après, plus rien. J'ai parcouru les journaux que je n'avais pas pu lire en fin de semaine. Maintenant je sais tout sur les REER, la rentrée littéraire de 2010, la façon de rénover un escalier et les bonnes adresses pour commander les plantes qui fleuriront dans mon jardin cet été. J'ai fait un mot croisé. Je l'ai complété en moins d'une
Finalement, finalement, c'est l'heure de quitter. J'ai tellement hâte d'arriver à la maison pour enfin bouger. Dans l'autobus, comble du malheur, je me retrouve assise près du monsieur bavard du matin, celui qui a été piqué avec une aiguille de gramophone.
Mais je suis arrivée à me réveiller. Et je suis certaine que vous savez déjà ce que j'ai fait. Eh! oui, j'ai enfilé mes espadrilles et je me suis branchée sur le métal. Il pleuvait un peu mais qu'importe. Après la douche d'hier, ce ne sont pas quelques gouttes d'eau qui allaient m'arrêter. J'ai écouté entre autres deux fois Selfproclaimed Messiah de Gardenian et Revolution de Crematory et j'ai senti quelque chose qui se passait en moi. Un courant électrique. La conscience, enfin!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire